Connecté en tant que :
filler@godaddy.com
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80 heures d’expériences inspirées de la nature
et de pratique intégrative pour se réapproprier, laisser évoluer
et se développer ses fondations d’être humain en lien avec d'autres êtres humains.
Différentes méthodes et interventions impactantes, inattendues, créatives pour laisser émerger ses solutions
et ancrer le changement.
Un vécu multisensoriel qui permet l’intégration
de nouveaux savoirs intellectuels et émotionnels
plus efficacement, plus profondément et plus intensément.
· Conscientiser les attentes et les exigences (les tiennes, celles de l’autre) et composer avec la déception, la culpabilité, l’insatisfaction, le sentiment d’échec et leur fonction utile ;
· Cesser de combler un vide, un manque laissé par un besoin de considération par la recherche de la reconnaissance de l’autre ;
· Te libérer des schémas de la comparaison, de la compétition et des complexes qui divisent et amènent animosité et ressentiment ;
· Accepter la différence et renoncer à te travestir et t’adapter pour être aimée, pour être admise ;
· Sortir des reproches, de la critique, des jugements qui génèrent confrontation, conflits, adversité et arrêter de le ramener à toi ;
· Explorer certaines limites et défis de la communication : l’incompréhension, la mauvaise interprétation, l’indélicatesse, les tabous, la censure ;
· Répondre à la sensation d’injustice, d’inégalité, d’iniquité et discerner ta juste place avec l’autre.
NATURE POÉTIQUE DE CE RENDEZ-VOUS INSPIRÉ DE L'HIVER
L’hiver, c’est légitimer, tour à tour, la place du noir et du blanc. Trouver son équilibre sur des terres paralysées, immobiles, glissantes de tout et de rien. S’acclimater à faire rimer la noirceur et la blancheur, la froideur et la candeur. Chercher la reconnaissance, c’est vouloir inévitablement cultiver un sol gelé pour apaiser sa faim insatiable. C’est confronter la validité des trois boules de bonhomme, le besoin de l’enjoliver et même de le travestir pour le rendre suffisant. Lui qui contient déjà la brillance de milliers de flocons. L’hiver, c’est la légèreté d’un flocon à la fois unique et différent, à la fois seul et uni. C’est la lourdeur d’une neige qui a trop pleuré ses tempêtes, ses blizzards ou trop conservé ses larmes de gel et de givre. De cet abîme cristallisé, apprendre à se laisser glisser, patiner sur de nouveaux sentiers et revenir à la maison s’emmitoufler au coin du feu.
· T’observer dans tes motivations de te maintenir en relation, que ce soit par habitude, par convention, par utilité, par peur, par incapacité, par loyauté… ;
· Décomposer des comportements nocifs et destructeurs, pour échapper à l’emprise, la manipulation, la jalousie, l’humiliation… ;
· Discerner les frontières entre convaincre et influencer, contrôler et mobiliser, diriger et inspirer ;
· Éclairer la subtilité des différents jeux de rôles qui tantôt nourrissent la relation, tantôt la parasite ;
· Apprendre des déclencheurs qui provoquent des réactions vives qui s’enveniment dans un jeu de ping pong ravageur ;
· Transcender l’attachement possessif et la dépendance pour accéder à l’autonomie, la liberté et l’indépendance à travers des liens désintéressés.
NATURE POÉTIQUE DE CE RENDEZ-VOUS INSPIRÉE DU PRINTEMPS :
Le printemps, c’est la première saison de la deuxième chance. S’offrir un nouveau départ inspiré de l’éveil de la nature. C’est accepter que les vivaces reprennent leur logis ou pas, que de nouveaux oiseaux chantent des mélodies déjà entendues, c’est le passage éphémère de l’éclosion du lilas. C’est répondre à l’appel de se libérer de couches protectrices devenues lourdes à porter, des tempêtes qui nous ont renfermés. C’est réparer ce que le cycle répétitif du gel et du dégel a laissé d’usure, c’est laisser le temps au sol d’être ensemencé et reverdir, c’est dépoussiérer le vieux, le sale, le gris. C’est s’offrir la joie d’un grand ménage, retirer la souillure des fenêtres qui empêche de voir clair, se départir de ce qui a fait son temps, donner de l’éclat à ce qui a été terni. Remercier le renouveau de s’accorder de vieillir en beauté et en dignité.
· Cesser de dépasser tes limites, de piétiner le respect de toi pour t’affirmer et te choisir dans une relation viable. Apprendre à dire oui et à dire non ;
· Dépasser les comportements provocateurs et saboteurs qui effritent les relations, conscients ou ignorés, pour choisir de plein gré l’issue de la relation, indépendamment de la peur de perdre ;
· Refuser d’agir contre ta volonté ou au détriment de toi ou de l’autre et établir un réel équilibre entre donner et recevoir ;
· Démystifier l’usure de compassion pour éviter la sur-exploitation et l’épuisement des ressources pour préserver ta dignité et ta santé physique émotionnelle ;
· Comprendre le bien-fondé de la colère, de la rébellion, de la honte, du dégoût pour apprendre à clarifier, affirmer et faire respecter ton consentement et ne plus autoriser qu’il soit transgressé ;
· Cerner et délimiter l’acceptable et l’inadmissible, rompre avec l’intolérable et la frustration du compromis pour entrer dans un espace gagnant – gagnant sans naïveté ni méfiance.
NATURE POÉTIQUE DE CE RENDEZ-VOUS INSPIRÉE DE L'ÉTÉ :
L’été, un mot si petit et court pour définir une grande saison dite la plus longue. Chaleureuse, généreuse et intense, elle s’offre et donne sans compromis. C’est à la fois les couleurs qui s’éclatent dans les champs d’abondance de fleurs comme de fruits, la lumière vive de cette boule de feu qui éclaire, inonde, assèche et aveugle, c’est l’esprit qui se relâche, les soupes qu’on savourent froides non par altruisme, par héroïsme mais pour leur parfum et leur saveur, la chaleur intense qui enivre, étourdie et pénètre sans consentement les pores jusqu’à les faire rougir. C’est le même soleil, pourtant, qui réchauffe et qui brûle, la même eau qui arrose et qui noie, la même main qui sème et qui cueille. De cette nature, apprendre l’équilibre de demander, de donner, de recevoir. S’inspirer de l’art de la pâtisserie pour se permettre de savourer pleinement la pleine ampleur de chacun des ingrédients, la juste quantité de crème, de fraises et de sucre.
· Échapper à l’impression de ne pas mériter d’être aimée et considérée, vue et entendue ou au contraire croire que tout t’est dû et de négliger les liens que tu prends pour acquis ;
· Interrompre le cycle qui t'amène à être attirée par les mêmes profils d’individus et d’histoires qui t'aspirent vers le bas et te maintiennent dans des patterns récurrents ;
· T’expliquer le refus d’admettre les gains à placer l’autre sur un piédestal, à l’idolâtrer, ou à l’inverse le mépriser et le rabaisser ;
· Délaisser l’envie de placer subtilement ton importance et ta valeur sur l’échelle de la popularité et glisser dans le piège de la recherche d’admiration et des applaudissements ;
· Pallier au rejet, a l’isolement circonstanciel ou provoqué par toi-même pour adoucir la souffrance de la solitude, vécue seule ou parmi d’autres, et demeurer liée inconditionnellement ;
· Te garder de créer toi-même la division, la séparation, l’exclusion par orgueil, par intolérance, par incompréhension, cachée derrière la susceptibilité, la bouderie et l'égocentrisme ;
· Bannir l’empiètement sur ton intimité physique et émotionnelle, t’appliquer à ouvrir l’accès de manière saine et sécuritaire à des relations vraie et profondes.
NATURE POÉTIQUE DE CE RENDEZ-VOUS INSPIRÉ DE L'AUTOMNE :
L’automne, c’est la nature qui expire et qui boucle en sobriété. Ce sont les arbres, dénudés comme des rois sans couronne, qui laissent à leurs pieds leurs diadèmes de feuilles en guise d’offrande à la terre. Ce sont les pommes agenouillées au sol, démunies de leur valeur et de leur joli manteau de velours rouge, s’exposant le coeur à vif en espérant indulgence et admission. L’automne, c’est la nature qui demeure aux aguets, scrupuleuse du tonnerre d’applaudissements pour ses gestes aussi présomptueusement beaux. Sous sa pluie de solitude, elle exhorte à suer d’orgueil, d’intolérance, d’égocentrisme et de susceptibilité, à sentir son courage et sa foi s’enfoncer pour se perdre comme des pas dans la terre diluée. C’est aussi l’esprit parfois boueux, qui tantôt maudit le ciel, tantôt l’implore de lui ouvrir les portes de son paradis. Puis, c’est se permettre de sentir l’odeur de bois, de reste de feu, de craie et sortir du brouillard. Se savoir attendu, n’être pas seul. Retrouver les couleurs, la quiétude, la vie, en ouvrant la porte de cette jolie maison allumée. Humer le chez soi, humer le bonheur.
· Déloger l’influence négative d’un système dysfonctionnel, concevoir ton apport pour le pacifier ;
· Dévier du nombrilisme, de l’effacement et distinguer ton individualité, ton unicité pour mettre tes forces au service du collectif ;
· Mettre l’emphase sur ce qui est déjà bon, les acquis ;
· Refuser les tueurs d’idées, la censure, le bâillonnement des conventions et rester centrée sur les possibilités ;
· Transgresser les temps troubles en demeurant focalisée sur l’appartenance, génératrice de nouvelles solutions ;
· Évaluer les raisons qui te poussent à t’affilier, à t’allier, à chercher à être validée, parfois sous l’emprise et la crédulité, parfois à bon escient.
NATURE POÉTIQUE DE CE RENDEZ-VOUS INSPIRÉ DU CYCLE DES SAISONS :
Comme Vivaldi a puisé son inspiration à la source des saisons, sa création intemporelle naît des sens accrus de la terre, de la vie, des cycles. Ceux qui sont interrompus, bouclés, inachevés et en constante évolution. En création. Composer de la brillance des jours et ses nuits blêmes, des secondes devenues des millénaires, des minutes figées comme des artéfacts de silence. Sortir des décombres ses empreintes singulières pour laisser revivre ces vestiges et contribuer à un morceau d’éternité. Orchestrer la note à sa portée, ses passages censurés par la plus pure expression de ses émotions. Laisser les montées se démarquer et les basses se sacrifier, le déséquilibre insinuer l’harmonie, la raison s’allier à l’impulsion, les croches s’affilier et se transformer en double croche. Savoir qu’une seule note contient toute la musicalité. Savoir que le oui et le non sont comme la ronde libre, entière et pleine. Savoir que toute note a un début et un fin telle une étoile qui s’éteint au matin venu et renaît plus tard sur une toile sombre. C’est la contribution de chaque son qui compose la symphonie, comme la puissance d’un seul arbre oxygène la forêt. Le chêne et le roseau n’ont pas les mêmes caractéristiques ni le même rythme ; l’un comme l’autre laisse le temps à la musicalité de la nature faire son oeuvre. Au passage du cycle des saisons, fredonner «on ne dit jamais assez aux gens qu’on aime, qu’on les aime.»
Hannah ARENDT
Un parcours échelonné sur 5 fins de semaine. Il n'est pas divisible et constitue une seule formation. Lors d'absence, il est possible de reprendre avec la cohorte suivante.
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De 8h30 à 15h30, incluant une pause repas de 45 minutes.
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